Une pensée toute particulière à tous les amis français que nous avons croisé sur notre route et dont le visage reste à jamais graver dans nos mémoires : Christian et Jean-Michel, Jacques, Marie et Rose, Ingrid, Ronan, Pierre et Chloé, Manu et Camille, Olivier et Amélie, Yann, Sophie et Cyril, Morgane et Gaël, l’équipage de Café Liegeois, de Taugl, de Bulle d’O, d’Apache, de Grenouille… Et bien-sûr tout l’équipage du Yann-Emilie, François, Clarisse, Thomas, Raphaël et Hélène. Nous ne sommes pas prêts d’oublier non plus nos amis Suisses : Nicolas ; l’équipage de Sir Ernest, et évidemment, Jean-Claude Fleuret de Drizar à qui nous devons tant de rencontres et de découvertes.
Et puis il y a ces gens de « là-bas », ceux qui, à l’heure qu’il est, sont sûrement en train de faire exactement ce qu’ils faisaient à l’endroit même où nos routes se sont croisées : traquer la sardine, tirer leur âne sous le soleil, dormir dans le creux du hamac, instruire les enfants à la lumière du Christ ou de Che Guevara… A toi, Eric au Venezuela, et aussi à toi Chen-Chen, à toi Pedro notre guide du Parc Humboldt, et toute la famille Segares Vives à Cuba, à vous deux, Jailson et Aurélien du Cap Vert… Sans oublier toutes les infirmières et médecins de l’hôpital La Meynard de Fort de France et de l’hôpital du Lamentin qui ont si gentiment pris soin de Pablo après son appendicite (et aussi de Fred, de Tiphaine et de Corentin).
Trop de noms à citer, trop de visages d’enfants figés dans nos mémoires.
Jean-Claude de Drizar, notre chance
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