mardi 26 août 2008

"Et nous tenions à remercier..."

Jacqueline et René Ganet, en tout premier lieu pour… à peu près tout : réception du courrier, scans des évaluations du Cned, envoi de carte bleue, de colis et bien d’autres gestes immatériels. Nous remercions également Yvette Senzig qui a mis du temps à admettre ce voyage, mais qui, peu à peu, nous a fait confiance et qui nous a été d’un grand secours à Cadix. Merci aussi à Isabelle Gaudon, toujours présente même si loin ; à Guillaume Leleu que l’on ne présente plus, et à vous tous proches et moins proches qui avaient adressé vos mails ou vos colis comme des bouteilles à la mer.

Une pensée toute particulière à tous les amis français que nous avons croisé sur notre route et dont le visage reste à jamais graver dans nos mémoires : Christian et Jean-Michel, Jacques, Marie et Rose, Ingrid, Ronan, Pierre et Chloé, Manu et Camille, Olivier et Amélie, Yann, Sophie et Cyril, Morgane et Gaël, l’équipage de Café Liegeois, de Taugl, de Bulle d’O, d’Apache, de Grenouille… Et bien-sûr tout l’équipage du Yann-Emilie, François, Clarisse, Thomas, Raphaël et Hélène. Nous ne sommes pas prêts d’oublier non plus nos amis Suisses : Nicolas ; l’équipage de Sir Ernest, et évidemment, Jean-Claude Fleuret de Drizar à qui nous devons tant de rencontres et de découvertes.

Et puis il y a ces gens de « là-bas », ceux qui, à l’heure qu’il est, sont sûrement en train de faire exactement ce qu’ils faisaient à l’endroit même où nos routes se sont croisées : traquer la sardine, tirer leur âne sous le soleil, dormir dans le creux du hamac, instruire les enfants à la lumière du Christ ou de Che Guevara… A toi, Eric au Venezuela, et aussi à toi Chen-Chen, à toi Pedro notre guide du Parc Humboldt, et toute la famille Segares Vives à Cuba, à vous deux, Jailson et Aurélien du Cap Vert… Sans oublier toutes les infirmières et médecins de l’hôpital La Meynard de Fort de France et de l’hôpital du Lamentin qui ont si gentiment pris soin de Pablo après son appendicite (et aussi de Fred, de Tiphaine et de Corentin).
Trop de noms à citer, trop de visages d’enfants figés dans nos mémoires.

Le Yann Emilie, notre étoile

Jean-Claude de Drizar, notre chance


Aucun commentaire: